Catégorie : L’écologie dans le monde

Vous avez certainement entendu parler de la Ruche qui dit oui, mais ne sachiez pas encore exactement ce que c’est. Nous allons vous en dire un peu plus dans cet article. La Ruche qui dit oui, est une start-up qui a pour objectif de mettre en place un système alimentaire plus juste et durable. Cette mise en place peut se faire en établissant un réseau de communautés d’achat direct aux producteurs. La première ruche a vu le jour en 2011 à Fauga (Haute-Garonne). Aujourd’hui, on compte près de 1 500 ruches réparties dans toute l’Europe. En gros, la Ruche qui dit oui est une nouvelle manière d’acheter localement et de manière respectueuse. La Ruche qui dit oui : C’est quoi ? La Ruche qui dit oui est une solution qui permet d’acheter des produits de saison directement auprès des agriculteurs. Elle est entre autres, une organisation qui compte environ 1 500 ruches présentent en Europe. Ce concept de regroupement des artisans-agriculteurs, connaît énormément de succès en ce moment. L’organisation met au point un circuit de distribution qui met directement en relation les producteurs et les acheteurs. Vous pouvez vous y rendre pour acheter vos produits, que vous avez préalablement commandé sur le site. Ce procédé vous permet d’avoir l’assurance d’obtenir des produits frais qui proviennent directement des producteurs. Ils se trouvent généralement à proximité de chez vous. Le but de ces ruches est donc de favoriser la production locale et accorder énormément d’importance sur la qualité au lieu d’effectuer des achats dans les grandes surfaces où la majorité des articles sont des produits importés. Toujours dans ce même point de vue, La Ruche qui dit oui, s’engage pour la lutte contre le réchauffement climatique. Le plus souvent, les familles n’ont pas assez de temps pour passer par plusieurs magasins pour faire les courses : pain, viande, produits cosmétiques, etc. La Ruche qui dit oui résout très bien ce problème. Vous pouvez trouver tout ce dont vous avez besoin, à un seul et même endroit. A part les aspects économique et santé, la Ruche qui dit oui permet aussi aux consommateurs de connaître les entreprises locales. La Ruche qui dit oui : quel est le principe ? Le principe de la Ruche qui dit oui se porte sur la mise en relation des producteurs locaux et les consommateurs, grâce à un site internet. Il s’agit en effet d’une solution permettant d’acheter des produits de saison directement aux agriculteurs et aux artisans à proximité. Le principe est très simple. Sur Internet, vous passez votre commande en toute simplicité : fruits, légume, pain, fromage, viande, boissons, etc. Chaque semaine, la Ruche vous propose un rendez-vous dans un endroit fixe où vous pouvez retirer votre commande, mais vous permet, par la même occasion, de découvrir les producteurs au cours d’un marché éphémère. On peut dire que le rôle de la Ruche qui dit oui, est de mettre directement en relation, l’acheteur et le producteur. Il s’agit d’une idée qui vient de la France mais qui est aujourd’hui déjà très répandue en Belgique également. La Ruche qui dit oui : c’est quoi son histoire ? La Ruche qui dit oui est un concept qui a été concocté par Guilhem Chéron. Ce designer culinaire décide de le concrétiser dans les années 2011 en collaboration avec un informaticien, Marc-David Choukroun. Ensemble, ils lancent la plateforme qui connaît directement un grand succès. Au cours de cette année, ils ont ouvert 24 ruches. La première Ruche voit le jour au Fauga, près de Toulouse. La Ruche qui dit oui se développe à l’international en 2013. D’autres ruches sont alors ouvertes dans les autres pays d’Europe. Un concept qui connaît alors un énorme succès, et qui ne cesse de se développer. En mai 2015, la société compte 750 Ruches réparties à travers l’Europe, qui regroupent plus de 5 000 producteurs et 140 000 clients. La Ruche qui dit oui, est donc une réelle communauté qui rassemble des amateurs de produits locaux. Ces derniers, qui souhaitent manger sain et responsable. La Ruche qui dit oui : comment elle fonctionne ? En ayant recours à la plateforme sur Internet, le producteur propose ses produits à la Ruche. Ensuite, c’est au tour du responsable de procéder à la sélection des produits qu’il souhaite proposer. Les membres qui sont inscrits à la ruche seront informés lorsque la vente sera lancée, afin qu’ils puissent commencer à passer les commandes en ligne. C’est le jour fixé pour la distribution que les acheteurs viennent récupérer leurs articles auprès des producteurs.  Le site la Ruche qui dit oui a été mis au point tout en mettant la technologie au service du développement social. Le fait de distribuer les produits, recrée une économie de confiance. Cela permet également de fédérer une communauté. La ruche aide les producteurs à mieux se développer dans leurs projets de financement grâce à des plateformes comme Hellomerci ou Kiss Kiss bank Bank. La Ruche qui dit oui et rémunération Laruchequiditoui vise la mise en place d’un système alimentaire plus juste et plus durable, en mettant au point, un réseau de communautés d’achat direct aux producteurs. La Ruche qui dit oui se base sur l’économie solidaire. Elle permet aux producteurs de toucher une meilleure rémunération, en éliminant les intermédiaires grossistes, et peut alors toucher 80 % du prix des produits à vendre. Les producteurs seront directement mis en relation avec les consommateurs via Internet. En plus de ce lien entre consommateurs et producteurs, la Ruche qui dit oui participe également au développement d’un système qui se base sur la production/consommation locale, le respect de la biodiversité ainsi que des saisons. Les responsables de ruche touchent généralement 8.35 % HT des ventes générées. Bref, le concept de la Ruche qui dit oui est très intéressant. Son but exact est de créer un marché virtuel, qui regroupe un grand nombre de producteurs qui proposent aux membres différents produits. On lance de nouvelles commandes chaque semaine. Les « abeilles » de la Ruche effectuent leurs commandes et règlent la facture sur Internet. Puis viennent les récupérer leurs achats vers…

Ces dernières années, les contraintes environnementales pèsent de plus en plus lourd dans notre société. En plus des critères traditionnels, les villes doivent à présent répondre à des normes écologiques. Cap sur Annecy, l’une des rares villes au monde à réussir à allier contrainte écologique, convivialité et plaisir au quotidien. La charmante ville d’Annecy et sa culture écologique Annecy est une commune française, chef-lieu du département de la Haute-Savoie en région Auvergne–Rhône-Alpes. C’est le centre d’une agglomération touristique de plus de 207 562 habitants. Aujourd’hui, la ville tend clairement au vert. La facilité de trouver un installateur de borne de recharge à Annecy permet la circulation sans contrainte de nombreuses voitures électriques. Ces véhicules électriques, de plus en plus présents à Annecy, consomment moins et polluent moins, ce qui permet de faire des économies et de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Annecy est d’ailleurs reconnue comme l’une des pionnières en matière d’écologie dans le monde. Son lac est régulièrement élu comme étant le plus propre d’Europe depuis les années 1970, grâce aux efforts d’assainissement engagés par les locaux dès la fin des années 1950. De plus, ses grandes pistes cyclables et son système de location de vélos en libre-service apportent à la ville un charme particulier. Entre le Semnoz, ses rivières et ses nombreuses structures de protection de l’environnement, Annecy est un véritable joyau écologique. Comment l’écologie est-elle intégrée dans la culture et la vie quotidienne de la ville ? Le lac d’Annecy, d’une longueur d’environ 14 kilomètres, vous permet de pratiquer de nombreuses activités ludiques et sportives. Vous pourrez par exemple vous promener sur les berges, vous prélasser sur ses nombreuses plages, faire de la plongée, du ski nautique, du bateau ou encore de la planche à voile. La montagne du Semnoz, quant à elle, s’étend sur 16 km entre la ville d’Annecy, le Col de Leschaux, Alby-sur-Chéran et Saint-Jorioz. Son sommet offre une vue exceptionnelle sur les montagnes de la chaîne du mont Blanc, le massif des Écrins ou le lac du Bourget à Aix-les-Bains. C’est le lieu des activités telles que l’escalade ou les pique-niques. Les habitants d’Annecy sont réputés pour porter une importance particulière aux différentes questions écologiques. La ville dispose ainsi de nombreux espaces verts pour se détendre, un système de gestion des déchets très bien organisé et une prépondérance des modes de transport écologiques. Quelques-unes des meilleures façons de vivre l’écologie à Annecy Il est sans doute plus facile de vivre de manière écologique à Annecy que dans de nombreuses autres villes du monde. Vous pouvez en effet vous déplacer sans contrainte avec votre véhicule électrique ou opter pour des vélos mis à disposition en libre-service, ce qui réduit considérablement votre empreinte carbone. Il est également recommandé de choisir des produits locaux pour réduire l’impact du transport sur l’environnement et d’adapter son mode de consommation aux produits saisonniers. Par ailleurs, il existe une excellente assistance pour le recyclage, ce qui facilite la gestion et la valorisation des déchets. Concernant la consommation d’énergie, passez à des fournisseurs d’énergie 100% propre et renouvelable. Pour éviter les gaspillages et limiter votre impact sur l’environnement, veillez également à adopter des écogestes au quotidien, par exemple à débrancher vos appareils électroniques lorsque vous ne les utilisez pas, entre autres.

Avec la dégradation de l’état du climat planétaire, la protection de l’environnement est devenue un sujet incontournable. De nombreuses associations et organismes ont vu le jour afin de protéger le milieu dans lequel les êtres humains vivent. Elles effectuent un nombre important de manifestations envers les industries qui sont nuisibles pour l’écosystème. Elles effectuent également d’importants investissements dans les mouvements de sensibilisation. L’AEE ou l’Agence européenne pour l’environnement fait partie des plus populaires dans ce domaine. Quelle est son histoire ? L’AEE est un organisme fondé en 1990 dans le cadre de la préservation de l’environnement. Il est devenu opérationnel en 1994 sous la direction de M Domingo Jiménez-Beltràn. Ce dernier a occupé ce poste jusqu’en 2003. Par la suite, il est remplacé par la directrice du Royaume-Uni, Jacqueline McGlade. Sa direction a pris fin en 2013. Et actuellement, l’organisme est sous la juridiction du belge M Hans Bruyninckx. L’AEE compte actuellement 27 pays membres de l’Union européenne. D’autres pays comme l’Islande, la Norvège, la Turquie, le Liechtenstein ainsi que la Suisse figurent également les membres de cette organisation. L’agence européenne pour l’environnement est également en collaboration avec la Serbie, le Monténégro, le Kosovo, la Macédoine, l’Albanie et la Bosnie-Herzégovine. Quels sont les objectifs de l’AEE ? Le principal objectif de l’AEE est d’améliorer la situation dans laquelle se trouve l’environnement actuellement. Il va donc opérer afin de procurer des informations sûres à tous les pays membres. Il veut également mettre en place des solutions durables en rapport avec la protection de la qualité de l’air. Les travaux effectués par l’AEE visent également la sensibilisation des figures-cadres dans un État sur l’impact de ses décisions sur la terre. Cette agence veut donc rendre le monde meilleur sur le plan environnemental. Quelle est sa mission ? L’AEE a été mise en place afin de permettre aux gens d’avoir des informations en rapport avec l’environnement. Il garantit une grande transparence sur les traitements en rapport avec ce mouvement. L’AEE ne dépend pas directement de l’État. Les informations dont il dispose proviennent de plusieurs autres organisations indépendantes. Leur devise est de partager le maximum d’informations fiables à ses lecteurs. Quelles sont ses activités dans le monde ? L’AEE est en relation directe avec les politiciens afin de leur montrer des informations en rapport avec l’évolution de l’environnement. Elle s’intéresse principalement aux données en rapport avec l’émission d’éléments susceptibles de polluer l’atmosphère. Tous les pays membres de l’Union européenne sont concernés par leur investigation. Elle travaille avec d’autres organisations comme le Centre of Emission Inventories and Projections ou l’UNECE, afin de réaliser une forme de suivi sur les inventaires d’émission de substance polluantes. L’AEE effectue également des régulières mises à jour sur l’EMEP afin d’informer les autres personnes intéressées par ce sujet. Les activités de l’AEE sont également centrées sur la qualité de l’air. Elle a mis en place des sites comme l’Air Base afin de contrôler en temps réel l’évolution de la qualité de l’air partout en Europe. La terre se détériore de jour en jour. Il est donc important que chaque personne prenne sa responsabilité envers notre planète. Les actions envers l’environnement n’impliquent pas forcément des reboisements ou des manifestations devant des firmes. Des gestes simples comme opter pour l’utilisation de produits bio et locaux suffisent pour réduire l’émission de gaz toxique par exemple. Le fait de favoriser l’utilisation d’un vélo à la place d’une voiture compte également comme une contribution. Effectuer des dons envers les agences de protection de l’environnement est également un grand geste dans le mouvement de protection de l’environnement.

Il est devenu aujourd’hui d’occulter les problématiques environnementales et le danger auquel notre planète fait face. La concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère a atteint un niveau alarmant. La perturbation du système climatique causée par cette émission de gaz est déjà visible. Si nous n’atteignons pas zéro émission de gaz d’ici 2050, les impacts pourront être catastrophiques. Qu’est-ce qu’il faut savoir sur le carbon disclosure project ? Effectuer un rapport environnemental est obligatoire pour toute entreprise dans le monde. Le carbon disclosure project ou le projet de divulgation du carbone est la meilleure référence en matière de reporting sur l’environnement. Il a mis en place un système efficace pour lutter et réduire l’émission du gaz à effet de serre. Aujourd’hui, il détient la base de données la plus complète dans le monde sur la performance environnementale des entreprises. Le carbon disclosure project devenu CDP depuis 2012 est une organisation caritative à but non-lucratif. Il étudie l’impact des entreprises mondiales sur le changement climatique et assure la divulgation d’informations sur l’impact environnemental des grandes entreprises. Il a été fondé par Paul Dickinson en 2000 et est basé au Royaume-Uni. Quel est son objectif ? Le carbon disclosure project œuvre pour la construction économique durable, adaptable aux gens et à la planète en même temps. Pour réaliser son objectif, il incite toutes les entreprises du monde entier et les acteurs publics à mesurer l’impact environnemental afin d’empêcher tout changement climatique dangereux et nuisible à toute l’humanité. Comment fonctionne le CDP ? Afin de prétendre au certificat du CDP, les grandes entreprises, les investisseurs, les villes, les régions ainsi que les États sont invités à répondre aux questionnaires relatifs au réchauffement climatique. Ces questionnaires concernent aussi les forêts à la gestion de l’eau. Ensuite, ils doivent fournir différents types d’information et données relatives à ces thèmes. Enfin, grâce aux réponses fournies par les entreprises, le CDP va les utiliser dans son processus de rapport. C’est pour évaluer et noter les répondants participants en fonction de la divulgation de leurs données. Le CDP classe les répondants participants dans des listes notées de A à D selon les informations fournies. Les méthodes de notation se font comme la suivante. A : Les entreprises figurant dans cette liste sont les plus avancées dans leurs stratégies climatiques. Elles publient 70 % au minimum de leurs émissions. Ce sont les organisations les plus transparentes et engagées. On parle alors du « best pratice » des entreprises. Malheureusement, en 2020, seulement 3 % des entreprises ont obtenu la note A. B : cette note est attribuée aux entreprises qui prennent des mesures concrètes en faveur de la protection de l’environnement. Le CDP tient compte de la gestion environnementale. C : elle est pour les entreprises conscientes de l’influence des questions environnementale. D : l’entreprise a fourni les informations et juste répondu à toutes les questions. Une dernière liste, la note « F » est attribuée à celles qui sont incapables de fournir suffisamment d’informations. Cela démontre le manque de transparence. Les avantages à la participation au CDP Son utilisation génère plusieurs avantages pour les entreprises, mais surtout pour l’écologie. Identification des risques environnementaux Les entreprises auront conscience de leur action sur le climat, les forêts et l’eau. D’ailleurs, une possibilité de traitement de ces risques est possible grâce à un guide fourni par le CDP. Valorisation de l’entreprise Le CDP n’est pas seulement un rapport sur les engagements climatiques. Il facilite la communication de l’entreprise avec ses parties prenantes. Le fait d’avoir le certificat CDP démontre la transparence et l’initiative à l’action de la lutte contre le changement climatique. Ainsi, il est favorable aux entreprises. Changement de réglementation de l’entreprise pour une meilleure politique tenant compte de l’environnement