Catégorie : Tech verte

Sécurisez vos impressions 3D

L’impression 3D se popularise du fait des nombreux avantages qu’elle offre. Elle permet de créer des objets uniques sans utiliser d’outils traditionnels en un temps record. L’utilisation de ces bijoux technologiques n’est pas totalement sans dangers. Pour les éviter, il est indispensable de sécuriser vos impressions 3D. Procurez-vous un filtre pour imprimante 3D Pour sécuriser vos impressions 3D, vous devriez vous procurer un filtre pour imprimante 3D. Lors de la réalisation des créations 3D, ces imprimantes rejettent des nanoparticules 10 à 100 fois plus petites que les particules habituelles. Elles sont beaucoup plus dangereuses. Elles peuvent en effet se loger dans le corps humain et créer d’importants dégâts. Pour éviter cela, des agences comme https://www.alveo3d.com proposent des filtres pour imprimantes 3D. Ils sont spécialement conçus pour ces types d’imprimantes. Ils sont très efficaces contre les nanoparticules et les Composés organiques volatils. Ils réduisent également l’odeur qu’émettent les impressions grâce au charbon actif intégré. Ces filtres s’adaptent facilement à n’importe quels caissons. Vous pouvez les installer sur des caissons professionnels ou artisanaux, vos créations 3D seront sécurisées. Ces filtres peuvent être utilisés pendant 3 à 6 mois. Si vous en équipez vos imprimantes 3D, vous pourrez faire des impressions dans des espaces confinés, sans crainte et sans odeurs. Utilisez des solutions sécurisées pour protéger vos fichiers d’impression 3D Vous pouvez aussi avoir recours à des solutions sécurisées pour protéger les fichiers d’impressions 3D. Vous pouvez utiliser les capots de protection par exemple. Ils permettent de maintenir la température à l’intérieur de l’imprimante 3D et protègent les impressions contre le vent, la poussière, etc. Ils permettent de plus de protéger vos créations du « warping ». Il s’agit de la déformation de la pièce causée par un choc thermique. Ils comportent généralement des portières qui donnent accès à vos créations 3D sans que vous ayez à retirer le capot au complet. Vous pouvez également opter pour un caisson pour imprimante 3D. Il permet d’apporter de la chaleur et une atmosphère plus sèche aux alentours de la zone d’impression. Cela facilite la création de fichiers 3D avec des filaments comme l’ABS, le nylon, etc. Il permet par ailleurs de protéger vos créations et même l’imprimante tout entière. Il est idéal pour cloisonner votre appareil, et détecter au plus tôt les départs d’incendies. Vous pouvez y ajouter un détecteur de fumée et un extincteur automatique. Installez un pare-feu sur votre ordinateur pour protéger votre imprimante 3D Un autre moyen de sécuriser vos impressions 3D est d’adopter un pare-feu qui identifiera automatiquement les menaces potentielles. C’est d’ailleurs fortement recommandé pour prévenir les tentatives de piratages. Les imprimantes 3D peuvent en effet être piratées. Un cybercriminel qui aura accès à votre imprimante pourra alors introduire des modifications indétectables dans vos produits. Vous laisserez ainsi entrer sur le marché de produits avec un dysfonctionnement particulier que seul le pirate connaît. Dans ce cas, même si la vie des consommateurs n’est pas en jeu, il peut y avoir un rappel massif de produits qui mettrait à mal vos finances. Le cybercriminel peut aussi voler le fichier d’impression 3D et s’approprier le savoir-faire. Vous avez donc tout intérêt à installer un pare-feu.

By Gaspar 28/07/2022 0

Comment bien organiser ses investissements dans les cryptomonnaies ?

Depuis quelques années, de plus en plus de personnes investissent dans les cryptomonnaies. En raison du grand nombre de cryptos disponibles sur le marché et des nombreuses fluctuations, il n’est pas toujours évident de suivre l’évolution de l’investissement. Comment alors optimiser la gestion des investissements dans les cryptomonnaies ? Fichier Excel pour cryptomonnaies : l’outil de gestion par excellence De nos jours, organiser les investissements dans les cryptomonnaies est une absolue nécessité. En effet, la croissance exponentielle du marché des monnaies virtuelles a engendré une hausse significative du nombre de cryptos. Les mouvements de ces différentes monnaies créent des fluctuations qu’il est bien difficile de suivre. Pour le suivi et l’organisation efficace des investissements, l’une des meilleures options est l’utilisation d’Excel. C’est un logiciel de la suite Office qui permet de créer des tableaux, de faire des calculs automatisés, des plannings ou des bases de données. Ses feuilles de calculs offrent la possibilité de retranscrire tous les investissements et de suivre leurs évolutions. Dès lors, il suffit de faire des ajustements quotidiens pour connaître l’état réel des actifs. Cela dit, l’utilisation d’une feuille de calcul Excel est une tâche délicate. Pour de nombreuses personnes, cela représente un véritable défi. Pour cela, il est possible d’opter pour un outil de gestion de cryptomonnaies, comme Excelcryptos, afin d’apprendre à gérer Excel pour la crypto. Ces outils proposent des formules toutes faites qui permettent d’organiser efficacement les actifs. Elles permettent notamment de mieux répartir les investissements, de tenir des positions en dépit des fluctuations et de connaître l’état réel des bénéfices. Pour en trouver, il suffit de se rapprocher d’un spécialiste des cryptomonnaies ou d’Excel. Le portefeuille cryptomonnaie : une alternative intéressante À défaut de la fiche Excel, il est possible d’opter pour les applications spécialisées comme les portefeuilles cryptomonnaies. Ce sont des logiciels qui ont pour fonction essentielle de faciliter les principaux mouvements des cryptomonnaies. Il s’agit notamment de l’envoi, de la réception, du contrôle et de la sécurisation. Cette application est particulièrement utile dans l’organisation des investissements, car elle retrace clairement l’état et l’évolution du marché des actifs (Bitcoin, Dogecoin, etc.). Il n’est alors plus nécessaire de faire une mise à jour quotidienne comme dans une fiche de calcul Excel. Comment fonctionne-t-il ? Le portefeuille génère de façon aléatoire un seed ou phase de sauvegarde. C’est une suite de mots tirés aléatoirement qui permettent de restaurer et de retrouver les actifs sur un nouveau compte, en cas de perte ou de piratage du premier. Le portefeuille permet également d’avoir des interactions avec les actifs liés au seed. Il est alors possible de connaître leur état réel pour effectuer une vente ou un achat. Le seed des portefeuilles cryptomonnaies permet d’obtenir une adresse de réception ou RIB cryptomonnaie. Celle-ci permet au détenteur d’acquérir aisément des actifs sans risquer des pertes ou des vols. Le seul bémol du portefeuille est que les adresses de réception sont spécifiques aux cryptomonnaies. Il n’est alors pas possible de recevoir des Dogecoin avec une adresse de réception Bitcoin.

By Gaspar 20/06/2022 0

Quel est l’impact environnemental des trotinettes électriques ?

De nombreux conducteurs basculent vers les solutions de mobilité verte afin de réduire leur empreinte carbone. Peu encombrantes, à priori non polluantes et assez rapides afin de gagner du temps en ville sans vraiment d’effort, les trottinettes électriques se présentent comme une bonne alternative aux transports classiques. Mais, les trottinettes électriques sont-elles vraiment efficaces pour lutter contre le réchauffement climatique ? Voyons ensemble l’impact écologique des trottinettes électriques. L’empreinte carbone d’une trottinette électrique La trottinette électrique ne pollue pas durant son usage. En effet, elle n’émet aucun CO2, ni substance polluante pendant, sauf quelques particules lors du freinage. L’émission se produit à partir de la phase de charge de la batterie. Par conséquent, la trottinette devient polluante pendant le repos. Les trotinettes électriques compactes, comme celles que l’on trouve sur Gyro-Phare, auront un impact plus réduit par conséquent, car elles seront plus faciles à transporter. Les trottinettes électriques n’ont pas de vies autonomes. Elles ne peuvent pas se déplacer toutes seules d’un point A à un point B. Il faut alors les transporter régulièrement afin de les mettre dans divers endroits stratégiques des villes. De plus, elles ont besoin d’être rechargées et le déplacement jusqu’aux bornes de recharge additionnée à la recharge elle-même, engendre un coût extrêmement élevé en termes d’environnement. En effet, 40% du total des 125 grammes est utilisé à cette gestion quotidienne. Contrairement à ce que l’on peut imaginer, l’impact environnemental des trottinettes électriques se joue principalement en amont, lors de la phase de construction. En intégrant l’extraction de métaux lourds, la fabrication de composants, les batteries, le transport, etc. en plus de l’énergie pour la recharge, on estime qu’une trottinette électrique émet jusqu’à 60 grammes de dioxyde de carbone par kilomètre parcouru. Ce chiffre monte jusqu’à 150 grammes de dioxyde de carbone par kilomètre pour les trottinettes électriques partagées en libre accès. Selon un article du Point, à Paris, les trottinettes électriques « partagées » auraient ainsi émis 13 000 tonnes de gaz à effet de serre supplémentaires par an.

By Gaspar 25/04/2022 0

Quels sont les moteurs de recherche écologiques ?

Bon à savoir : la majorité des data centers et des serveurs informatiques fonctionnent à l’aide de combustible tiré du sol tels que le gaz naturel et la houille. Oui, naviguer sur le web a un impact sur notre environnement. On note actuellement une véritable conscientisation des utilisateurs, se tournant de plus en plus vers des moyens de navigation plus soucieux de l’environnement. On a pu assister à l’émergence de nombreux acteurs web écologiques, comme les moteurs de recherche. Moteur de recherche écologique : de quoi s’agit-il ? Ne nous voilons pas la face. De par son fonctionnement, qui est de récloter et de classifier un maximum de données, le moteur de recherche consomme énormément d’énergie pour stocker toutes ses informations. Il faut voir ça comme une bibliothèque géante qui a besoin d’énergie pour fonctionner. Tout moteur de recherche du plus renommé (tel que Bing, Google ou Yahoo) au moins populaire, reste dans tous les cas un méta-chercheur et fait usage des mêmes techniques de fonctionnement. Cependant il faut noter un caractère propre à un moteur de recherche pour qu’il soit dit engagé, et cela figure dans sa façon de céder son profit. Après avoir remarqué que les gains engendrés par les annonces publicitaires et commerciales sur les moteurs de recherche sont assez conséquents, ces derniers décident de restituer une part de ces gains à des associations caritatives et écologiques dans le but de se dédommager de leur empreinte carbone. Ecogine : le moteur de recherche soucieux de l’environnement Il s’agit d’une organisation créée en France, en avril 2008, par trois étudiants de l’école polytechnique nantaise. Ecogine ou « ecological search engine » qui est à ce jour sous la direction de l’association pour les enfants du Pays de Beleyme, attribue la totalité de ses gains à des organisations à objectif environnemental. Chaque recherche génère en moyenne une donation d’une valeur de 0,0021 centime d’euro pour les causes épaulées par Ecogine, sélectionnées par sondage proposé aux utilisateurs une à deux fois par an. En Janvier 2021, 5 associations se sont partagés une somme de 10 000 euros basée sur les gains de l’entreprise durant l’année précédente. En étroite collaboration avec Google, Ecogine reçoit 75% des bénéfices publicitaires engendrés par les utilisateurs. Depuis qu’il a été créé, Ecogine se promet de dédommager le CO 2 produit par la procédure de recherche en rétribuant 10% de ses bénéfices au plan de compensation volontaire Pure Project. De plus, Infomaniak accueille ses serveurs en respectant un règlement écologique consultable, basé sur les énergies alternatives naturelles. Nous conseillons donc aux utilisateurs d’Ecogine de ne pas activer de bloqueur de publicité, auquel cas ils ne génèreront pas de revenu à but caritatif. Lilo : en solidarité avec la nature Créé en France durant l’année 2015, Lilo est un moteur de recherche ayant pour objectif d’épauler des programmes sociaux et environnementaux. Etant une organisation à but lucratif à mission humanitaire, Lilo ou « généreux » en hawaïen transmet 50% de ses profits à une centaine de programmes engagés choisis pour leur objectif principal social et environnemental. Il tourne grâce à une technique de « gouttes » que l’utilisateur emmagasine au cours des recherches qu’il effectue et décide par la suite de répartir entre tous les projets suggérés. Les sommes à partager entre les projets s’évaluent à partir des profits réels de Lilo. Engendrés à l’aide des annonces publicitaires par mots-clés, ils sont proportionnellement divisés entre les projets au nombre de gouttes données par les utilisateurs. Recensant plus de 670 000 utilisateurs par mois, Lilo assure avoir déjà rétribué environs 3,5 millions d’euros à des associations. Si la rentabilité de cette entreprise ne s’appuie ni sur les ventes de données des internautes, ni sur les annonces publicitaires ciblées, Lilo est un moteur de recherche qui se repose sur les calculs de Bing, Google et Yahoo qui sont des enseignes qui ont la possibilité de stocker des données. Il faut remarquer que Lilo a mis en marche une application qui offre la possibilité de garder son anonymat dans les recherches. Ecosia ou le métamoteur planteur d’arbre Fondé en 2009, Ecosia, le moteur de recherche allemand s’affiche comme étant le métamoteur écologique qui plante des arbres. Bien entendu, ce n’est pas l’entreprise qui effectue le boisement. C’est à travers les actions des usagers sur les annonces publicitaires suggérées par le moteur que Ecosia peut recueillir son revenu. Puis le moteur de recherche rétribue des proportions à des programmes de plantation d’arbres dans des dizaines de pays différents. A compter d’environ 15 millions d’internautes actifs par mois, avec 3 millions provenant de France, Ecosia assure avoir déjà pris part à la plantation d’au moins 120 millions d’arbres. En principe Ecosia s’appuie sur Bing, le moteur de recherche créé par Microsoft. Comme les résultats sont pratiquement les mêmes, Ecosia fait apparaître des icônes à proximité des entreprises ou organisations associatives pour signifier les plus éco responsables et les établissements les plus polluants. Ce dernier assure également, confidentiellement, avoir discuté que Bing procède à l’automatisation de l’anonymat des historiques de recherches ainsi que l’identifiant unique sous quatre (4) jours.

By Gaspar 17/01/2022 0

Lilo : le moteur de recherche made in France

Lilo est un nouveau moteur de recherche français et solidaire, la plateforme ne collecte pas les informations de ses utilisateurs et donne une partie de ses revenus publicitaires. Sachant que tous les moteurs de recherche génèrent leur revenu avec les liens commerciaux mis en ligne, Lilo fait pareil mais à sa façon. La particularité de Lilo, c’est son initiative à verser la moitié de ses revenus à des associations qui protègent l’environnement ou en soutenant des projets caritatifs. Lilo vous permet de faire une bonne action, rien qu’en utilisant le moteur de recherche. Pour avoir une petite idée du système Lilo, il faut savoir qu’une recherche génère 30 euros de profits en moyenne, par internaute et par an. Si on cumule ce chiffre à toutes les recherches effectuées par les internautes, on dispose d’une somme importante que l’on peut investir pour notre avenir, notre planète et pour les autres. Le concept Lilo est solidaire et humainement responsable. Lilo, un moteur de recherche soutenant les projets sociaux Lilo : une goutte d’eau pour la toile Fondé en 2015 par Clément Le Bras et Marc Haussaire, Lilo est une start-up made in France innovante et responsable. Ce moteur de recherche, de type Ecosia, est en effet un méta-moteur qui va chercher ses informations dans les autres moteurs comme Google, Firefox ou Explorer. Lilo concrétise ses recherches avec le partenariat des géants de la toile, Google et Yahoo. Afin d’optimiser les résultats des recherches, il travaille sur les mêmes algorithmes. Ainsi, l’internaute est rassuré par la qualité de chaque recherche, semblable à celle des moteurs généralistes. Pour confirmer le côté qualitatif de votre recherche à un instant précis, vous pouvez cliquer sur l’onglet proposé par Lilo. Le point important du concept Lilo reste la participation de chaque utilisateur à chaque recherche effectuée sur la plateforme. L‘effet goutte d’eau des mots clés à trouvés sur le moteur est comptabilisé et s’accumule sur votre compte personnel. On obtient ainsi une somme considérable que l’on va distribuer auprès des associations qui militent pour l’environnement et des projets sociaux qui revendiquent le commerce équitable. Le but de Lilo est de mettre en avant la contribution de l’internaute en générant une valeur et de le laisser choisir le secteur pour l’utiliser. Selon Clément Le Bras, un des fondateurs du moteur de recherche, l’innovation qu’apporte Lilo, c’est de mettre en place une plateforme à la portée des citoyens pour agir face aux problèmes sociaux et environnementaux, vu le manque d’initiative concret pour apporter des solutions. Une transparence sur la répartition des revenus de Lilo Avec Lilo, l’utilisateur de la plateforme devient un donneur potentiel qui soutient une cause noble vis-à-vis des autres et de la planète. C’est le moteur de recherche pour une navigation responsable. Le système de financement chez Lilo est transparent et vous ne risquez pas de vous faire arnaquer. Pour financer tous les projets, on retire un pourcentage sur les revenus générés par les liens commerciaux qui s’affichent à chaque recherche. Prenons la métaphore qu’une recherche est assimilée à une goutte d’eau et qu’un millier de gouttes d’eau vaut 2 euros. En sachant que 80% des Français sont connectés à internet tous les jours, on peut déduire que, depuis son lancement en 2015, Lilo a collecté 211 868 euros. Pour rassurer les utilisateurs de Lilo, ils ont misé sur la transparence pour la non-collecte des données personnelles des internautes afin d’éviter le tracking commercial. Les partenaires de Lilo ne sont pas fictifs Afin de montrer une totale transparence sur la répartition des sommes collectées, Lilo affiche sur son site les grandes ONG et les associations qui travaillent avec eux après une sélection selon la cause défendue. Vous trouverez également toutes les opérations et le montant versé à chaque partenaire sur leur page de présentation. Lilo invite à un acte citoyen plus responsable pour guider les internautes qui souhaitent contribuer à toute cause noble. Alors, en tant qu’utilisateur, vous pouvez donner autant de gouttes d’eau à autant d’associations que vous voulez. Ces projets concernent de grandes ONG comme de petites associations et sont rigoureusement sélectionnés par Lilo en fonction de la cause défendue. La répartition des dons Pour la répartition des dons, Lilo a mis en place un taux de pourcentage réfléchi sur la pérennité du concept. Chaque goutte que vous donnez sur Lilo se répartit comme suit : 50 % d’une goutte d’eau est destiné à soutenir le projet que vous avez choisi. 20 % sont consacrés à la promotion du moteur de recherche pour séduire d’autres utilisateurs et assurer la continuité des actions. 25 % couvrent les frais de fonctionnement de la plateforme et garantissent sa pérennité. 5 % visent à compenser l’émission de carbone que chaque recherche génère.

By Gaspar 29/10/2021 0

Indice de réparabilité : un barème contre l’obsolescence

Né de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire, l’indice de réparabilité est entré en vigueur depuis le 1er janvier 2021. Il est déployé sur cinq catégories de produits électroménagers et électroniques. Son objectif principal est d’informer les consommateurs sur le caractère plus ou moins réparable de ses achats. Indice de réparabilité : qu’est-ce que c’est ? L’indice de réparabilité est un barème établi par le gouvernement afin de connaître le degré de réparabilité d’un produit. A ce jour, cinq catégories de produits sont concernées. Constitué d’une note sur 10 et d’un code couleur, cet indice permet d’indiquer au public si le produit est réparable. Grâce à cet indice, les consommateurs peuvent s’informer sur la réparabilité d’un produit. Cela permet également de les sensibiliser sur la durée de vie des équipements. L’instauration de l’affichage obligatoire de l’indice de réparabilité permet également de lutter contre le gaspillage, mais aussi pour optimiser l’économie circulaire. Cette information permet aux consommateurs d’allonger la durée de vie et l’utilisation de leurs appareils. Elle permet également d’orienter leurs comportements d’achat vers des produits facilement réparables. Ainsi, en cas de panne, on pourra les inciter à recourir davantage à la réparation. Quels sont les produits concernés ? A ce jour, l’indice de réparabilité est obligatoire pour cinq types d’appareils, à savoir : Les smartphones Les ordinateurs portables Les téléviseurs Les lave-linges à hublot Les tondeuses à gazon électrique A plus long terme, l’indice de réparabilité sera disponible sur tous les équipements électriques et électroniques. La diffusion de l’indice est obligatoire depuis le 1er janvier 2021, mais l’absence ne sera sanctionnée qu’en 2022. Calcul de l’indice de réparabilité Plusieurs critères sont pris en compte pour déterminer l’indice de réparabilité. Il s’agit notamment de la documentation, de la disponibilité des pièces détachées, de la facilité de démontage, du prix des pièces détachées ainsi que des spécificités du produit. En effet, plusieurs critères entrent en compte dans le calcul de l’indice. Théoriquement, le système prévoit qu’un constructeur peut atteindre au maximum 782 points. Cependant, il n’est pas évident de finir avec une notation sur 782. On a donc imaginé un mécanisme permettant de ramener le score sur 782 dans une note sur 10. Ainsi, pour calculer l’indice de réparabilité, la règle est la suivante : chaque sous-critère est noté sur dix et affecté d’un coefficient qui permet d’aboutir à une note sur 20 par critère. L’addition des notes de chaque critère aboutit à un total sur cent, puis réduit à une note sur dix. Pour faciliter le calcul, le gouvernement donne le détail du barème. Le fabricant doit ensuite calculer l’indice de réparabilité en s’appuyant sur le barème. Comment décrypter l’indice de réparabilité ? L’indice de réparabilité permet de noter chaque produit. En effet, plus le produit est facile à réparer, plus la note sera élevée. Pour faciliter la lecture de l’indice, la notation est accompagnée d’un code couleur, allant du rouge vif pour les produits non réparables au vert foncé pour les produits faciles à réparer. En effet, on peut voir cinq couleurs, selon l’indice de réparabilité du produit. La couleur en rouge est notée entre 0 et ≤ 1,9/10 La couleur orange est notée entre 2/10 et ≤ 3,9/10 La couleur jaune est notée entre 4/10 et ≤ 5,9/10 La couleur vert clair est notée entre 6/10 et ≤ 7,9/10 La couleur vert foncé est notée entre 8/10 et 10/10 Indice de réparabilité : quelles sont les modalités d’affichage ? A travers cet indice, le gouvernement souhaite obtenir un taux de réparation des produits électriques et électroniques de 60% d’ici les cinq prochaines années. Cette mesure permet également d’éclairer les choix des consommateurs, notamment s’ils sont sensibles aux enjeux environnementaux. Les vendeurs doivent ainsi afficher la note synthétique de l’indice, à proximité du prix. En respectant la signalétique imposée, cela implique un affichage de la note en rayon, pour la vente en magasin, et un affichage sur la page de présentation de l’équipement, pour la vente en ligne.  Les vendeurs peuvent également afficher l’indice de réparabilité sur toute autre forme de support de communication telle qu’une affiche de promotion, des tracts, etc. En effet, les modalités peuvent varier, cependant, les vendeurs ont l’obligation d’utiliser au moins une de ces modalités de mise à disposition. L’indice et le détail de la notation doivent être mis à disposition gratuitement par le producteur ou l’importateur par voie électronique, à toute personne qui en fait la demande.

By Gaspar 21/09/2021 0

Fairphone, le téléphone écoresponsable

Les smartphones occupent aujourd’hui une place majeure dans nos quotidiens. En effet, 80% de la population française possède un smartphone, et le change tous les deux ans en moyenne. Et pourtant, ce sont des objets très polluants, que ce soit pour leur production, mais également pour les déchets qu’ils produisent en fin de vie. Les composants d’un téléphone portable proviennent pour la plupart de matériaux non-renouvelables. Il est aujourd’hui plus facile de jeter un smartphone, car il s’avère compliqué de remplacer une pièce défectueuse. Pour résoudre ces problématiques, le Fairphone a été conçu pour privilégier avant une consommation plus responsable de cet objet du quotidien. Présentation du Fairphone Le premier Fairphone a été développé en 2013 aux Pays-Bas. Contrairement aux smartphones standards, ce téléphone est basé sur le principe de la durabilité. En moyenne, la durée de vie d’un smartphone se situe autour de 24 mois, sans possibilité de réparation. Cela signifie qu’en cas de problème technique, le smartphone classique est automatiquement jeté et remplacé par un neuf. Malheureusement, ce type de consommation représente une véritable menace pour l’environnement. Le Fairphone, contrairement à ses concurrents, est un téléphone composé de pièces renouvelables pouvant être changées indépendament les unes des autres, notamment : l’écran le processeur l’appareil photo la batterie détachable Des instructions d’assemblage sont disponibles pour les utilisateurs. Au travers de conseils et de tutoriels, ces derniers ont la possibilité de changer un élément défectueux sans l’intervention d’un professionnel. Il s’agit du seul téléphone créé à partir de matériaux écologiques. La première version du Fairphone a été vendue à plus de 60 000 exemplaires. Un concept écologique et durable Basé sur le principe de l’électronique écologique, le Fairphone propose les mêmes fonctionnalités qu’un smartphone classique tout en respectant l’environnement : écran 5 pouces, appareil photo haute résolution, 2 Go de RAM et plus, Bluetooth, 32 Go de mémoire et plus… Contrairement à ses concurrents, le Fairphone consomme moins d’énergie. C’est le téléphone écoresponsable par excellence. Il a la particularité d’être conçu avec 45 % de plastique recyclé. Pour réduire au maximum les conséquences liées à la pollution, le choix des matières premières est choisi en fonction du pays producteur soutenant l’économie durable. Fairphone travaille uniquement avec des entreprises se souciant du bien-être de leur employé. Pas de production de masse, respect des horaires de travail, et salaire juste. Le but de Fairphone est de proposer aux consommateurs un téléphone qui dure le plus longtemps possible, tout en réduisant son impact environnemental sur toute la chaine de production, et son recyclage. Les deux premières versions du Fairphone ont été vendues en plus de 100 000 exemplaires, le Fairphone 3 séduit ses utilisateurs grâce à sa facilité de démontage et de réparation. Dès le déballage, ce téléphone écoresponsable laisse voir ce qui le rend unique par rapport à ses concurrents en vente sur le marché. Contrairement aux smartphones standards, le Fairphone n’est pas livré avec un chargeur. Cela oblige l’utilisateur à utiliser un chargeur USB-C déjà en sa possession. Il est également livré sans écouteurs. En revanche, le smartphone est livré avec une protection contre la casse, ainsi qu’un tournevis pour procéder aux réparations si nécessaire. Le Fairphone est un produit idéal pour toute personne recherchant un smartphone design et durable sans risquer d’aggraver les dégâts causés par la pollution.

By Gaspar 10/08/2021 0

Qu’est ce que le green IT, ou écologie numérique

On parle souvent du développement durable, mais on a tendance à omettre de mentionner le domaine du numérique. Or, celui-ci est devenu un incontournable. En effet, bien que cela ne soit pas tout à fait perceptible, la consommation numérique a un réel impact sur notre planète. Ceci en grande partie dû à l’utilisation des ressources engendrées par notre consommation digitale. Que ce soit dans le matériel informatique, ou dans l’énergie utilisée ou faire tourner les datacenters, le spectre du green IT est large. Ainsi, c’est au regard de cet impact environnemental important que la notion de green it a vu le jour. En effet, le green it, ou écologie numérique est un concept qui a pour but d’inviter la société à limiter l’empreinte écologique du numérique. Ceci sur les plans social et économique des technologies de l’information et de la communication. Plus de détails à la suite de cet article Les différentes déclinaisons du green IT Pour rappel, le green IT, ou écologie numérique regroupe toutes les technologies de l’information et de la communication qui participent à la réduction de l’empreinte écologique et sociétale. Pour cela, ce concept se décline sous trois périmètres que nous présentons ici. Le green IT 1.0 : Conception responsable numérique Il concerne la conception numérique. En effet, elle se charge de la performance environnementale et sociale au moment de la conception d’un produit ou d’un service dans le domaine du numérique. D’un point de vue plus concret, ce volet du green IT concerne touche plus à tout ce qui entoure la fabrication de nos outils digitaux. Cela peut aller d’un ordinateur, à un logiciel ou à l’environnement d’une entreprise de services informatiques. Que ce soit au niveau des ressources matérielles, ou sur un plan social, la démarche consiste à réduire l’empreinte écologique de la conception numérique dans son ensemble. Le green IT 1.5 : SSID Il se base sur l’usage de tout ce qui est outil numérique. Le but étant de réduire notre empreinte écologique d’un point de vue global à l’aide des technologies et outils numériques. On parle de conception d’un système d’Information Développement Durable (SIDD). Ainsi, les technologies de l’information et de la communication (TIC) sont en étroite collaboration avec les services de stratégie RSE des entreprises au travers des orientations, des reportings, et même des évaluations de performance sur l’environnement de ses collaborateurs. Le green IT 2.0 Celui-ci se focalise essentiellement sur la réduction des impacts écologiques par le biais des TIC. Ici, plus qu’une optimisation, on a affaire à une éco-innovation de rupture. En d’autres termes, il s’agit de se servir de nos technologies pour adopter des actions visant a améliorer notre impact environnemental Per exemple, cela pourrait concerner l’ajout d’un cycle “éco” sur nos machines à laver. Comment appliquer le green IT au quotidien ? Appliquer le concept de green IT au quotidien, c’est à la portée de tous. Cela demande juste d’adopter certains comportements qui contribueront à réduire l’impact de la pollution numérique sur notre environnement. Ne pas changer régulièrement ses équipements informatiques Tablettes, ordinateurs, smartphone ou encore téléviseur… Servez-vous s’en le plus longtemps possible après les avoir achetés. Ainsi, il ne faut pas toujours céder aux appels publicitaires sur les sorties derniers cris de ces appareils. Éviter les vidéos en streaming Il vaut mieux télécharger d’abord vos vidéos et vos musique avant de les écouter. Si votre vidéo n’est pas disponible au téléchargement et que vous devez quand même la regarder en streaming, faites-le en basse définition : cela économisera de la bande passante et par conséquent, de l’énergie. Faire un ménage régulier dans ses mails Il faut supprimer tous les mails avec des pièces jointes. Ceci permet de ne pas avoir plus de stockages inutiles au niveau des centres de données.

By Gaspar 07/05/2021 0

Ecosia, le moteur de recherche écologique

Ecosia est un moteur de recherche au même titre que Google, Bing, Qwant ou Yahoo. Cependant, il se distingue de ses concurrents en se définissant comme un moteur de recherche écologique. En d’autres termes, il aurait un impact assez considérable et positif sur l’environnement. Ceci grâce à son principe qui consiste à allouer une partie de ses revenus publicitaires généré par les recherches de ses utilisateurs sur internet dans la plantation d’arbres dans différents pays. Pour être plus clair, le moteur de recherche au logo vert verse environ 80 % de ses bénéfices à des fins de protection de l’environnement (principalement la reforestation). Plus de détails sur ce moteur de recherche ami des plantes. Qui se trouve derrière Ecosia et quel est l’objectif de ce moteur de recherche ? Ecosia ne vient pas de nulle part ! En effet, il s’agit d’une idée de Christian Kroll, un Allemand amoureux de la nature. Après ses études de commerce, alors qu’il avait 25 ans, ce dernier s’est lancé dans un voyage à travers le monde et a vite compris le grave problème de déforestation. A son retour il a alors décidé d’agir et l’idée de lancer un moteur de recherche écolo lui est apparu. Il a contacté des investisseurs et des partenaires parmi lesquels Bing de Microsoft et Yahoo pour leur faire part de son projet d’entreprise. Grâce à ceux-ci, la plateforme a alors vu le jour en 2009 dans le but principal d’agir contre la déforestation massive en plantant des arbres. Comment ce moteur de recherche écologique gagne de l’argent ? Selon le fonctionnement de Ecosia, ce sont les publicités générées qui rapportent la majeure partie des bénéfices. Si vous avez déjà essayé ce moteur innovant, vous savez certainement qu’il existe des bannières d’affichage publicitaire discrètes ou des résultats de recherche portant la mention “annonce”. Lors de votre navigation sur internet, vous êtes amenés à faire des recherches, et donc utiliser un moteur de recherche. La majorité de ces moteurs se rémunèrent grâce à la recherche sponsorisée, ou à l’affichage publicitaire. Lorsque vous cliquez sur un résultat sponsorisé, le moteur de recherche facture une somme à l’annonceur concerné. Dans le cas de Ecosia, ce revenu sera ensuite reversé à hauteur de 80 % à des associations à but non lucratif à travers le monde. Selon les données fournies par ce moteur, il faut environ 45 recherches pour planter un arbre. Avec ce fonctionnement, c’est en quelque sorte l’entreprise qui paye pour permettre qu’on plante un arbre. Le tarif des annonces fonctionne sur un système d’enchères entre les différents annonceurs. Notez également que les revenus générés par Ecosia sont en toute transparence communiqués à sa communauté ainsi que les actions à entreprendre avec ceux-ci. Actuellement, le site a déjà dépassé la barre des 120 millions d’arbres plantés dans 13 pays différents. Cela fait désormais plus de 10 ans que ce moteur de recherche ami des arbres a vu le jour, et il compte désormais plus de 8 millions d’utilisateurs dans le monde. On est encore loin des 390 milliards d’arbres de la forêt amazonienne. Quand on sait que la déforestation touche les 3 millions d’arbres abattus par jour, on est encore loin du compte. Mais chaque effort a son importance, et le succès d’Ecosia en est le symbole. Ecosia, est-il efficace pour effectuer des recherches ? Ne l’oublions pas, le but d’un moteur de recherche n’est pas de planter des arbres ; mais bien de nous proposer des résultats pertinents à nos différentes requêtes. C’est un défi de taille face à l’algorithme Google qui se fait une obsession de proposer des résultats pertinents. C’est pourquoi il est tout à fait légitime de se demander si Ecosia vaut le coup de ce côté. Pour vous répondre, sachez qu’il ne s’est pas créé de A à Z. En effet, il utilise l’algorithme de base du deuxième meilleur moteur de recherche au monde qu’est Bing. A la différence de ce dernier, il prétend améliorer son algorithme pour une meilleure pertinence résultats de recherches. De quoi vous rassurer quant à son efficacité.   Comment installer le moteur de recherche Ecosia ? Rien de plus simple, inutile d’avoir des notions de code ou une expérience particulière sur internet. Si vous aussi vous souhaitez remplacer Google par Ecosia pour participer à la lutte contre la déforestation, vous pouvez le faire en quelques clics, et c’est totalement gratuit. Il vous suffit d’installer l’extension de Ecosia depuis les paramètres de votre navigateur internet (Chrome, Firefox, Safari…). Lors de l’installation, vous pourrez sélectionner l’option “sélectionner Ecosia comme moteur de recherche par défaut”. Sinon, si vous retournez dans les paramètres du navigateur, vous pourrez sélectionner à loisir parmi tous les moteurs de recherches souhaités. Vous pouvez désormais taper toutes vos recherches dans la barre de recherche de votre navigateur afin d’accéder aux résultats proposés par Écosia. Extensions Ecosia : Ecosia pour Chrome Ecosia pour Mozilla Ecosia pour Safari Ecosia pour Microsoft Edge A votre tour désormais naviguer sur le web, tout en donnant un coup de pouce à la nature !

By Gaspar 24/04/2021 0